Mise au point
Je ne suis pas fan du concept, je ne l’ai d’ailleurs jamais été. En effet cette volonté de rendre à tout prix de jeunes artistes polyvalents alors même que pour chanter il n’est pas nécessaire de danser (et vice versa) me désole. Cette obligation peut finalement s’avérer non seulement inepte, sans bon résultat, et désastreuse pour certains.
Gregory avait-il besoin de gigoter en chantant pour nous scotcher dans nos sièges ? Assurément pas. Il s’agit avant tout, pour moi, d’investissement dans l’expression de son art. Nul besoin d’artifice, quand l’âme est là, elle est là, nue.
Qu’il y ait un professeur "d’expression scénique", oui, c’est utile, car bien de jeunes artistes ne savent pas habiter l’espace, se l’approprier et cet enseignement peut les y aider. Pour autant est-il vraiment nécessaire de mélanger les genres à tout prix ?
Quant au côté "loft", que dire… Aucun intérêt…
Qu’est-ce qui a bien pu me pousser à entrouvrir cette porte ? C’est simple, les voix, toujours. J’adore découvrir des voix, j’adore sentir le frisson qui me parcourt lorsqu’une voix a, non seulement la qualité, mais aussi ce "truc" mystérieux qui va éveiller en moi ce fameux frisson, et c’est lui que je cherche avant tout.
Et sur cette petite colonie de prétendants, seulement 3 candidates ont pu éveiller ces fameux frissons. Je ne sais de quelle façon l’équipe procède pour les castings, mais il est évident qu’une poignée d’amateurs n’a pas du tout sa place ici ; il n’y a qu’à observer les remarques… acerbes des professeurs qui doivent s’arracher les cheveux d’ailleurs.
Il n’y a donc que 3 personnes ayant trouvé le chemin de ma sensibilité. Cela ne veut pas dire que je porte un jugement sur tous les autres. Cela signifie qu’un certain nombre n’a pas réussi à m’enflammer et que d’autres n’ont carrément rien à faire ici (à mon goût).
Ces 3 noms ne surprendront sûrement personne. Il s’agit de Zayra, de Vanina, et de Mathilde.
Je ne m’attarderai pas sur les autres qui oscillent entre le manque de ce quelque chose qui ferait toute la différence et amateurisme déclaré. Je veux bien entendre le concept "d’école", mais quand j’en entends chanter certains, j’aurais tendance à demander en quoi consiste leur talent…
Donc, trois jeunes femmes ont retenu mon attention. Désolée pour les garçons mais très sincèrement nous sommes très loin d’un Louis Delort !
A moins d’une révélation que je n’aurais pu prédire au moment où j’écris cet article, je n’écrirai donc que sur ces trois jeunes artistes.
Gregory avait-il besoin de gigoter en chantant pour nous scotcher dans nos sièges ? Assurément pas. Il s’agit avant tout, pour moi, d’investissement dans l’expression de son art. Nul besoin d’artifice, quand l’âme est là, elle est là, nue.
Qu’il y ait un professeur "d’expression scénique", oui, c’est utile, car bien de jeunes artistes ne savent pas habiter l’espace, se l’approprier et cet enseignement peut les y aider. Pour autant est-il vraiment nécessaire de mélanger les genres à tout prix ?
Quant au côté "loft", que dire… Aucun intérêt…
Qu’est-ce qui a bien pu me pousser à entrouvrir cette porte ? C’est simple, les voix, toujours. J’adore découvrir des voix, j’adore sentir le frisson qui me parcourt lorsqu’une voix a, non seulement la qualité, mais aussi ce "truc" mystérieux qui va éveiller en moi ce fameux frisson, et c’est lui que je cherche avant tout.
Et sur cette petite colonie de prétendants, seulement 3 candidates ont pu éveiller ces fameux frissons. Je ne sais de quelle façon l’équipe procède pour les castings, mais il est évident qu’une poignée d’amateurs n’a pas du tout sa place ici ; il n’y a qu’à observer les remarques… acerbes des professeurs qui doivent s’arracher les cheveux d’ailleurs.
Il n’y a donc que 3 personnes ayant trouvé le chemin de ma sensibilité. Cela ne veut pas dire que je porte un jugement sur tous les autres. Cela signifie qu’un certain nombre n’a pas réussi à m’enflammer et que d’autres n’ont carrément rien à faire ici (à mon goût).
Ces 3 noms ne surprendront sûrement personne. Il s’agit de Zayra, de Vanina, et de Mathilde.
Je ne m’attarderai pas sur les autres qui oscillent entre le manque de ce quelque chose qui ferait toute la différence et amateurisme déclaré. Je veux bien entendre le concept "d’école", mais quand j’en entends chanter certains, j’aurais tendance à demander en quoi consiste leur talent…
Donc, trois jeunes femmes ont retenu mon attention. Désolée pour les garçons mais très sincèrement nous sommes très loin d’un Louis Delort !
A moins d’une révélation que je n’aurais pu prédire au moment où j’écris cet article, je n’écrirai donc que sur ces trois jeunes artistes.
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